De plus en plus le travail de Daniel Grobet évolue vers l’abstraction, vers l’épuration des formes. Cercles, tiges, courbes empreintes de légèreté, d’ampleur et de mouvement à peine audible, rendent une atmosphère paisible, propice à la méditation.
La poésie, la grâce, la légèreté et une grande spiritualité se dégagent des sculptures mobiles de Daniel Grobet. Son travail vit à travers le vent, avec le spectateur qui ne peut s’empêcher de toucher la sculpture, de jouer avec les mouvements, de s’émerveiller de la constante métamorphose.
Roulis 2. 2006. 170 x 170 x 185 cm. fer ciré.